"(...)
Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime,
Tirés comme par un aimant,
Se retournent docilement,
Et que je regarde en moi-même,
Je vois avec étonnement,
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux, vivantes opales,
Qui me contemplent fixement."
Charles Baudelaire, Les fleurs du mal.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire